La ville, fauve, territoire de jeux. Rumeurs du matin, silence caniculaire. Événements infimes, glissement de la perception et des spectres.
Des mots. Paroles, dialogues. Fiction, onirisme.
L’insouciance retrouvée. L’enfance prétexte.
Peintures, différents médiums (installation, vidéo, son), composent le parcours, interrogeant la mémoire, architecture du vivant.
Les compositions de Domiplan (projet musical et sonore de xcv depuis 2011) sonnent, résonnent et dessinent un espace particulier dans l’enceinte de l’église des Cordeliers.
Ici, xcv anime les sens et détourne le réel
– acerbe – vers une forme de candeur fugace.